Hayami PinkuMessages : 99 Opales : 3638 Date de naissance : 15/07/1998 Age : 26 Localisation : SPACE MEN (en vrai catalogne) Humeur : Sourire de benêt c: Commentaires : J'aime le chèvre o/
ID CARD Rôle: Chercheuse et vagabonde Âge: 16 ans Inventaire:
|
Sujet: Hayami Pinku [terminé] Ven 3 Avr - 19:26 Hayami Pinku"Ce que nous appelons le mal est l'instabilité inhérente à toute l'humanité, qui entraîne l'homme hors et au delà de lui même vers un insondable quelque chose, exactement comme si la Nature avait légué à nos âmes une part indéracinable d'instabilité, puisée dans les réserves de l'ancien chaos." Stephan Zweig ◊ Talk about yourself !Nom : Pinku Prénom : Hayami Âge : 16 Date de naissance : 15/07/1998 Sexe : femme Taille : 1m75 Couleur des yeux : vert gris Nationalité : Japonaise Adresse :Avant l'incident je ne me rappelle de rien et je me suis réveillée dans une chambre d'hôpital. Groupe : No name Rôle :Je n'ai pas vraiment de rôle mais je suis curieuse et je me plais à chercher des réponses au mystère de la disparition de tous les adultes donc on peut dire en quelque sorte que je suis une chercheuse Avatar : Simca — air gear Qualités : aimable, ouverte, intelligente, sociable, honnête, travailleuse, persévérante, curieuse Défauts : Pacifique, insouciante, avare, gloutonne, amnésique, délire facilement, impressionable Famille : Je suis amnésique je ne me souviens pas de mon ancienne vie, je vous expliquerais tout ça. Ecole : Amnésie ça aide pas trop. délinquance : La première chose que j'ai fait en me réveillant c'est vol à l'étalage dans une supérette, je vous raconterais les détails Réputation :On me prend pour une folle car je délire toute seule dans la rue, sinon je n'avais aucune relation dont je me souvienne en me réveillant mais j'ai rencontré des gens, la plupart m'ont rejeté, mais j'ai réussi à me faire une amie : Tomoe Kikuchi. Popularité : Je suis seule, je ne connaissais personne à mon réveil comme je l'ai dit, et personne ne semble m'avoir déja vu. Je ne suis personne mais je développerais cela plus tard. Arme : Je suis quelqu'un de pacifique je ne cherche pas la violence, ces histoires de gang me laissent indifférente. Mais si on me provoque je suis capable de courir très vite, puis je suis capable de me tirer de toutes situations grâce à mon intelligence! Du moins théoriquement... Autres : J'ai les cheveux roses et une casquette d'aviateur que j'ai trouvé, elle est à moi, rien qu'à moi!
◊ What you've been through...Ce que vous avez fait avant de savoir la disparition des adultes, le jour de l'éveil : Je m'appelle Hayami Pinku, je suis une femme, j'ai 16 ans, ma date d'anniversaire est le 15/07/1998... c'est à peu près tout ce qu'il y a de lisible sur ma fiche d'hôpital posé aux pieds de mon lit de patiente. Lorsque j'ai pris conscience de mon existence ce fut au milieu d'un long sommeil agité. J'étais perdue dans un rêve trouble où flashs et échos de ce qui semble être mon ancienne vie se percutaient entre eux dans un ballet vertigineux. Je me réveillais en sueur, haletant, tremblant. Je venais probablement de sortir d'un long coma, un long tunnel obscur débouchant sur le néant. Qui suis-je ? Où suis-je ? Pourquoi ? Comment ? Une foule de questions qui n'attendaient que des réponses se précipitaient aux portes de mon esprit qui s'éveillait au monde. Mais pour l'instant il y avait quelque chose de plus important : la faim. A la fenêtre de ma chambre d'hôpital, je pouvais voir l'aurore sur une grande ville où l'urbanisation s'étendait à perte de vue. En contre bas une rue vide, où nulle âme ne semblait vivre. Une supérette me narguait avec sa vitrine étincelante sur laquelle dardaient les premiers rayons du soleil de la journée, des fruits exotiques y étaient exposées. Mon ventre émit un gargouillis qui fit trembler mon lit. Sans plus attendre je me levais d'un bond en projetant les draps, mais mon ardeur fut anéantie lorsque je m'effondrai sur le marbre de la chambre. Si j'avais prise conscience de mon esprit, ce n'était pas encore le cas de mon corps. Celui-ci semblait être pris dans une sorte de glu douloureuse, mes muscles étaient atrophiés. Incapable de me lever je rampais vers la porte de ma chambre. J'avais vraiment faim et je n'allais pas laisser ce corps dicter ma conduite. Je passais les étapes un à un de mon éprouvant périple. D'abord la poignée de porte, si lointaine à mes bras. Puis le long couloir froid et obscure. Et l'ascenseur, difficile à utiliser pour une larve comme moi, mais je parvins à mes fins. Si ma mémoire ne me permettaient de me souvenir d'aucuns faits antérieur, je me souvenais tout de même du monde en général. Par exemple: comment se servir de tous les objets et autres, puis j'avais toujours mon instinct opérationnel, ça n'a l'air de rien mais certains amnésiques ne se souviennent vraiment de rien, tiens d'ailleurs je me souviens de cela. Juste je ne sais ni qui je suis, ni ce que j'ai fait, et je n'ai personnes dont je me souvienne du nom, du visage ou encore la simple sensation d'une personne. L'ascenseur déversa son fardeau rampant au niveau zéro de l'hôpital. En face de moi il y avait la sortie ainsi qu'un local grand ouvert dans lequel apparaissait des fauteuils roulant. J'en pris un puis me dirigeait ardemment vers la rue, la supérette était là, elle m'appelait. Sans réfléchir je pris un pavé, mes bras avaient maintenant pleines capacités, et le lançait de toutes mes forces contre la vitrine arrogante avec ses fruits si resplendissant. Il y eut un bruit assourdissant de verres brisés et j'entendis un chien aboyer au loin. J'avais bien pris mes précautions, aucun fruit ne fut atteint par mon acte irréfléchis. Mon visage devait briller d'appétit, je sentais un filet de bave couler sur mon menton. Sans plus attendre je me saisis de tous ces beaux fruits: des bananes, des pommes, des oranges, des ananas, des cerises, des fraises, des framboises, des melons, des papayes, des pêches, des abricots et puis pleins d'autres! Une véritable orgie de fruits dont je m'empiffrais sans aucune forme de respect, mangeant même la peau de l'ananas sans faire attention. Après m'être littéralement exploser la panse je m'étendais mollement sur mon fauteuil roulant et me mit à réfléchir et à reconsidérer les choses. Ne devrait il pas y avoir des gens dans une ville? C'est censé servir à ça les villes... Et puis euh je n'aurais pas dû attaquer cette pauvre supérette. Mais il n'y a personne dans le coin donc ça va. Puis d'abord où je suis? Et qui je suis? Sans même m'en rendre compte je m'étais levée de mon siège. Lorsque je réalisais la chose je sautais de joie en criant. Eh mais j'ai une voix aussi! En plus elle est pas moche! Je me mis à chanter l'air de la Traviata sans raison particulière. Quant à savoir comment était il possible que je connaisse cet air et non ma vie... En tout cas sur le moment j'étais vraiment folle, j'ai dansé avec allégresse et sans retenue dans la rue. Avec pour seuls spectateurs des restes de fruits écrasés et des bouts de verres scintillant de l'aurore. Du moins c'est ce que je pensais mais pendant mon délire un petit attroupement de curieux enfants me regardaient avec anxiété. L'un d'eux me cria : - T'es qui? Est-ce que t'es une folle? Je trébuchais au son de sa voix. Je me relevais, me dépoussiérais et pris un air naturel. Puis je lui répondis: - Euh eh bien je suis Hayami Pinku et euh je me balade. Je suis pas folle juste heureuse. Et vous pourquoi vous me regardez d'ailleurs? Allez jouer les enfants restez pas là. Vous avez besoin d'aide? Ou d'une nouvelle compagne de jeu peut-être? Un autre enfant prit la parole et dit: - Tu as cassé le magasin à mon papa... et t'as mangé tous ses fruits... - Ah... oui effectivement euh je n'ai pas fait exprès, je n'avais pas conscience de mes actes. J'avais juste très faim. Il est où ton papa je voudrais m'excuser? - Je sais pas... papa et maman ont disparu... tu les as mangé? Tu les as mangé comme des bananes? Et sur ces mots il se mit à pleurer. Les autres enfants le regardaient avec compassion, d'autres me regardaient méchamment, j'entendais des murmures menaçant, des insultes même. Ils me traitaient de folle! D'ogresse! - Mais voyons tes parents ne doivent pas être bien loin. Je les ai pas mangé! Vous emportez pas c'est un malentendu! Enfaite je vais vous dire la vérité: je me suis réveillée à l'hôpital là et je me souviens de rien, j'avais très faim et j'ai pas pu me contrôler j'ai pris ce fauteuil roulant et j'ai foncé pour manger ces succulents fruits... ils étaient vraiment bons. Il doit en rester quelques-uns peut-être, attendez je vais vous en trouver. Vous en voulez les enfants? Mais ces derniers me regardaient bizarrement. J'avais l'impression d'être un monstre. Heureusement la situation se détendit lorsqu'un coup de vent fit se soulever ma légère robe d'hôpital laissant entrevoir aux pré pubères une partie de mon anatomie. Ils se mirent tous à rougir d'autres rigolèrent et d'autres encore se cachaient les yeux innocemment. Moi j'avais une pose ridicule et la prise de conscience de mon état de quasi exhibition face à des enfants me rendit toute honteuse. Je courrais pour échapper à leur regard. ET Ce que vous avez fait durant le mois suivant la disparition des adultes : Les jours suivants ne furent que fuite face à ses amas d'enfants, je sais pas pourquoi mais ils me faisaient peur. Mais où sont les adultes? Fuite et survie furent mes mots d'ordre dans un premier temps. Je réussis à subvenir à mes besoins, je suis assez débrouillarde et auto suffisante. Je dormais dans ma chambre d'hôpital. Je volais des vêtements avec honte, des fruits d'autres supérettes, et j'ai même trouvé une casquette d'aviateur dans une poubelle, j'ai dû me disputer farouchement avec un renard pour l'avoir mais quand je lui ai grogné dessus il a décampé comme un lapin. Depuis je la porte tout le temps! Je cherchais activement de l'aide mais les seules personnes que je rencontrais étaient des troupes d'enfants sauvages et particulièrement agressif, enfin ils me donnaient cette impression. Avec le recul je me demande si un enfant courant en pleur dans ma direction constitue une agression... Je rencontrais aussi des adolescents de mon âge, je les abordais avec un grand sourire et humblement leur posais quelques questions. Les discussions semblaient bien se dérouler mais dès fois je perdais le contrôle et me mettais à délirer pour un rien. Du coup je me faisais rejeter... il y en a qui m'ont un peu gardé mais ils voulaient se servir de moi pour des histoires de guerre de gang, je refusais catégoriquement, je suis une femme pacifique et indépendante. Ils m'ont menacé, ils m'ont dit que si je ne faisais pas partie de leur gang je ne pourrais plus me nourrir sur leur territoire et que je devais partir. Ainsi je ne pouvais me lier avec quiconque et je fus expulsée de la plupart des quartiers des gangs. Des personnes aux intentions clairement meurtrière m'ont même pourchassé! Mais je suis une sprinteuse d'élite et je suis également très caméléon! Du moins tant que mes cheveux roses sont dissimulés. Je ne trouvais aucun adulte donc aucune aide, je fuyais les enfants qui me terrifiaient de leur simple sourire niais et m'attirait la foudre des adolescents violents. Mais je n'avais pas peur, à part des gosses... Le reste du temps je me pavanais insouciante dans les rues. Je survivais sans trop me soucier des choses. Mais la question de mon identité me brûlait l'esprit. J'avais vraiment envie de savoir. Puis j'avais envie de savoir tout court. La quête de la connaissance, des livres, des encyclopédies, des vieux journaux étaient aussi importants pour moi que la nourriture ou mon lieu de repos, l'hôpital m'étant désormais interdit avec tous ces gangs qui se battent pour rien. Car franchement, s'il n'y a plus d'adultes il y a tout un monde à refaire, à construire de nos propres mains! On pourrait faire un monde parfait et magnifique sans avoir de vieilles règles et des conservateurs réactionnaires pour nous barrer le chemin. Mais non, les jeunes préfèrent se servir de cette liberté pour épancher tous leurs désirs tordus, de sexe et de violence... Ça me désole mais en même temps je m'en fous complètement. Je ne dois rien à personne. Moi aussi j'aime être libre mais je me sens pas l'envie d'aller égorger d'autres personnes ou faire des trucs sales dans la rue comme j'ai vu faire parfois... Je préfère explorer la ville, manger des fruits, lire sur un banc, et chantonner allègrement. Mes livres m'aident dans mes recherches sur la disparition des adultes et autres sujets mystérieux qui me taraudent l'esprit. S'ils ont disparu ces adultes, c'est peut-être parce qu'ils ont agis comme des lemmings? Les lemmings sont ces petits rongeurs des cercles arctiques, lorsque ces derniers sont trop nombreux les membres adultes de la colonie se suicident en se jetant des falaises des glaciers pour pouvoir laisser vivre et prospérer les nouvelles générations sans les limiter par leur présence et besoins. Les adultes auraient-ils agis de même? Cela m'étonnerait, je n'ai retrouvé aucun corps et s'ils s'étaient tous déplacés ailleurs pour mourir on l'aurait remarqué. Puis ce serait vachement stupide, on est pas des rongeurs quand même. Depuis quelques temps ma solitude me pèse mais les gens sont de moins en moins ouvert à moi. Si avant je pouvais espérer leur adresser la parole, après plusieurs mois d'éveil, éveil qui semble correspondre avec le jour où les adultes ont disparu, les jeunes sont encore plus violents. Je ne peux les approcher! Ma liberté de mouvement s'en est trouvé très entravé mais mon insouciance guide toujours mes pas. Cependant mes courses effrénées pour fuir tous ces malades sont de plus en plus fréquentes, je vais finir par me faire avoir si ça continue. Je devrais faire plus attention mais le danger m'excite... Un jour où je fuyais un gang qui me poursuivait pour leur avoir volé un stock de bananes je tombais au détour d'une ruelle sur Tomoe Kikuchi. Cette rencontre fut décisive pour ma survie, ma vie et mon enquête sur qui je suis... ◊ You, behind the screen ( ͡° ͜ʖ ͡°)Surnom : Eyo, Liolio, la Touffe (parce que j'ai des gros cheveux) ou Dieu. Age : 17. Comment avez-vous découvert le forum : J'avais envie de rp et une amie m'avait parlé de ce forum où elle y était déja, du coup wala rp me voici, maki Bonnie <3 Quelque chose à ajouter : J'aime les pâtes, je pense que c'est très TRÈS important de le souligner. Code :
|
|