Nikita HonjoMessages : 13 Opales : 3536 Date de naissance : 04/03/1998 Age : 26 Localisation : secret Humeur : .
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Sujet: Silence, je t'observe. (terminée.) Lun 20 Avr - 20:24 Nikita HonjoTu me vois, tu me vois plus ◊ Talk about yourself !Nom : Honjo Prénom : Nikita Âge : 15 ans Date de naissance : 13/12/1999 Sexe : Féminin Taille : 1m62 Couleur des yeux :Noire Nationalité : Japonaise Adresse : Quartier Nord Groupe : Royal Guard Rôle : XXX Pion - Observatrice Avatar : Re-L - Ergo Proxy En gros: Discrète, possédant une très bonne mémoire elle est observatrice et surtout, adoratrice de la hiérarchie. Elle est également muette comme une tombe, le moindre secret qu’on pourrait lui confier restera enfoui au plus profond d’elle, du moins, si elle estime qu'il ne lui sera pas utile. Elle a également une logique stratégique propre, qu’elle suivra toujours, et qui l’aide énormément. Cependant, elle est froide, distante, n’essayez pas d’établir le contact avec elle, c’est impossible. A moins que vous ne soyez son supérieur. De plus, elle est parfaitement méprisante. Elle a déjà du mal avec les autres Pions, mais quand il s’agit de personnes extérieures à la Royal Guard… D’ailleurs, elle est cruelle. Sa mère étant une immigrée russe, elle ne connaît absolument pas cette partie là de sa famille. D’ailleurs, la seule véritable présence qu’elle a de sa mère n’est autre que son prénom, Nikita. Son père, un japonais profondément ancré dans la tradition, est un homme sévère, qu’elle admire. Quand à son niveau scolaire, il est plutôt bon, sans être exceptionnel. Elle travaille assez pour obtenir les notes nécessaires à son évolution. Comme dit plus haut, elle est cruelle. Et méprisante. Actes répréhensibles commis? Oh, elle apprécie fortement détruire psychologiquement les êtres inférieurs, qu’elle confronte à sa logique dure et douloureuse. N’étant pas adepte du contact, elle ne vous brutalisera pas directement, plutôt avec un objet, et des gants… Elle est assez méconnue. Peut être dans l’établissement Lancaster, et encore. Après tout, elle n’est qu’un pion. Et elle préfère d’ailleurs vivre cachée. C’est assez utile de jouer l’ombre. Elle ne possède qu’une seule et unique arme, c’est à dire un sabre japonais, un dotanuki. C’est une sorte de Katana, légèrement plus long et épais, il est, selon le mythe, capable de trancher un homme en un seul coup. Cette arme est issue de la cachette secrète de son père, qui vouait une véritable admiration, presque vaniteuse à l’objet. Cependant, son maniement nécessite une grande force physique, qu’elle n’a pas. Aussi l’utilise-t-elle très peu, mais le porte éternellement à la ceinture, par pure vanité. Elle veille également à ce que la lame ne se détériore pas, et espérant le manier correctement un jour, essaie de se muscler. Physiquement faible, discrète voir effacée, et surtout, jeune fille. Son caractère n’étant pas la première chose qu’elle vous fera découvrir, elle vous craint tout de même. Aussi se travestit-elle. D’ailleurs, elle se trouve plus efficace déguisée pour observer. Normalement, seul les membres de la Royal Guard connaissent son véritable aspect, et encore.
◊ What you've been through...Ce que vous avez fait avant la disparition des adultes : Je suis née un jour de décembre, et d’après mon père, il faisait froid, et moche. Pourtant, il était heureux, à cette époque là. D’ailleurs, il m’aimait énormément, malgré toute la sévérité qu’il me témoignait. En fait, c’est dans le moule qu’il avait intégré que je voulais rentrer. Celui du japonais respectueux de sa hiérarchie, de ses ancêtres. Très jeune, je me suis calée sur ce qu’il était pour grandir. Contrairement à ma mère, que je trouvais parfaitement haïssable. Elle ne travaillait pas, et vivait aux crochets de mon père en permanence. Heureusement qu’il avait un poste important dans son entreprise. Son salaire nous faisait vivre convenablement. Et puis aussi, il souhaitait que je parte avec toutes mes chances. Aussi me plaçait il dans l’établissement Lancaster, non loin de notre lieu de résidence. J’éprouvais une immense fierté à l’idée d’étudier dans l’établissement, mais je gardais toujours à l’esprit cette logique imparable de la hiérarchie et de l’observation. Parce que si on respecte la première, on peut l’intégrer. Et si l’on utilise la seconde, on peut grimper dans celle à laquelle nous appartenons. Aussi vivais-je dans cette logique de la discrétion et de soumission à l’égard de mes aînés et de mes professeurs, mais ayant hérité du caractère de mon père, méprisait toujours l’inférieur. D’après lui, nous appartenions à une grande lignée, autrefois noble, ruinée par le temps, la guerre, les révoltes du peuple. Ils avaient du travailler d’arraché-pied afin de recouvrir un peu la gloire de leur rang, et laver les déshonneurs des générations passées. D’ailleurs, mes ancêtres, certainement grand-parents de mes aïeuls, avaient racheté une partie de l’ancienne propriété, du moins, ce qui n’avait été détruit par les fougues de la plèbe colérique. C’était une atmosphère reposante, en dehors de la ville. Un grand jardin, de beaux pavillons anciens dans lesquels je me promenais respectueusement et sans fin. Avec mes grands-parents habitaient mon oncle, sa femme, et leur fils, Ryusuke un jeune homme intriguant, et du même âge que moi, mais à qui je devais soumission, comme me le répétait mon père, puisqu’il était l’héritier légitime de notre patrimoine. Il ne me parlait jamais, me souriait juste poliment. Il me semble qu’il était du même caractère que le mien, aussi, même si nous ne nous voyions jamais. Il était d’ailleurs pensionnaire à l’établissement Lancaster, certainement pour s’éloigner du carcan familial, mais encore une fois, je ne le croisais jamais dans les couloirs, et quand l’occasion se présentait, lui ou moi se trouvait appelé je ne sais où.
Chez moi, afin de me distraire, quand je m’ennuyais, et dans le plus grand des secrets, j’apprenais l’art du déguisement. Internet me guidait pour divers tutoriel, et je trouvais, achetais, fabriquais tout ce qu’il me fallait. Avec un peu de maquillage, je pouvais paraître plus âgée, ou me rajeunir, voir, forcir mes traits et sembler jeune homme. Selon les vêtements, mais aussi mes « prothèses », perruques, chaussures, je modifiais on apparence, et en cela, je m’amusais énormément. Je ne pensais cependant, jamais avoir à m’en servir...
Ce que vous avez fait durant le mois suivant la disparition des adultes :Un matin, les miaulements rauques de Sputnik, le chat de ma mère, me réveillèrent. Nous étions en semaine, et il devait être cinq heures du matin, heure où le désagréable félin appréciait me réveiller pour sortir vivre sa vie. Cependant, quand je lui ouvrais, il ne se dirigeait pas directement vers la fenêtre, mais se frotta avec force et affection contre mes jambes. Ce n’était pas normal de sa part. D’ailleurs, je me trouvais face à l’horloge du couloir, qui indiquait… midi?! Paniquée d’avoir pu manquer l’école, ce qui était impardonnable, je me précipitais dans ma chambre, évitant maladroitement de tomber à cause du matou, et tentais de m’habiller, attrapant tout ce qui était à proximité, nouant mes cheveux en un chignon mal fait, tant pis, je le ré-ajusterais plus tard. Je n’avais pas le temps de déjeuner, j’étais déjà assez en retard. Et puis, pourquoi père n’était il pas venu me réveiller? Mère aurait pu le faire.
« Mat’, ya idu !! »
Criais-je en russe sur mon ton agacé. Mais elle ne me répondait pas. Tant pis. Dehors, il y avait la voiture de mon père. Lui non plus ne s’était pas réveillé? D’ailleurs… Tout était bien calme. Certes, nous habitions un quartier résidentiel, mais… Pas même le vieux voisin coupant éternellement la haie, voyant partout des branches rebelles. Sputnik revenait encore une fois dans mes jambes, miaulant de plus belle. Cette fois-ci, je fronçais un sourcil et attrapait l’animal dans mes bras, susurrant des gentillesses en russe dans son oreille, ce qui le faisait ronronner. Je ne sais pas vraiment si je faisais ça pour le rassurer, et surtout, moi avec. Faisant un pas en arrière, je fermais la porte, sans la verrouiller, et glissais jusqu’à la chambre parentale. Rien. Les vêtements déjà prêt de père, on pourrait croire qu’ils sont là. Pourtant, pas un bruit. Après avoir tourné en rond dans la maison et le petit jardin, je constatais difficilement que personne n’était là. M’habillant différemment cette fois-ci, je fermais tout les volets de la maison, et sortais, déguisée en garçon. C’était déjà plus sûr il me semble. Durant une semaine, je faisais le tour de mon quartier, rentrant régulièrement chez moi pour manger et me reposer. C’était horrible, j’avais l’impression d’être seule au monde, comme si… Non. Au final, je me rendais à la Lancaster school, habillée de mon uniforme, un grand manteau noir par dessus histoire de. Je retrouvais à cet endroit de la vie, c’était… Soulageant. J’apprenais qu’on avait établi un système semblable à un échiquier. Comme à mon habitude, j’intégrais la hiérarchie sans ciller, après tout, j’avais toujours fait ainsi. Prêtant serment, j’admirais avec ferveur notre reine, et ne souhaitais que grimper dans les rangs pour la fréquenter. J'atteindrais peut être le grade de cavalier, un grade prestigieux qu'il fallait mériter. Mon rôle, je le proposais d’entrée. J’étais observatrice, je savais me déguiser. Je serais la moucharde, au sein du groupe comme en dehors.
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