Asa ShimonagaMessages : 12 Opales : 3468 Date de naissance : 09/08/2000 Age : 24
ID CARD Rôle: S'occupe des plus jeunes • Souhaite fonder une école Âge: 17 ans Inventaire:
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Sujet: ♦ Make a sweet dream ♦ ASA [fini] Ven 19 Juin - 19:53 Asa Shimonaga" Apprendre à voir est un enseignement de même nature qu'apprendre à lire. " ◊ Talk about yourself !Nom : Shimonaga Prénom : Asa Âge : 17 ans Date de naissance : 03/03/1998 Sexe : Comme vous l'avez remarqué, Asa est bel et bien une asexuée femelle. Taille : 1m78 Couleur des yeux : Originellement verts, Asa porte des lentilles violettes. Nationalité : Japonaise Adresse : Quartier résidentiel du côté nord Groupe : United Heroes Rôle : Simple membre Avatar : Euphemia — Code geass. Qualités : Asa est douce ? Oui, très douce. Asa est gentille ? Oui, assurément. On raconte qu’elle est empathique ? Oui, Asa est très réceptive quant aux sentiments des autres et se montre souvent très compréhensive et tolérante. Elle est aussi intelligente, non ? Oui, Asa est intelligente, mais c’est aussi le genre de personne qui réfléchit toujours avant d’agir. Est-ce vrai qu’elle est ordonnée et dégourdie ? Oui, depuis qu’elle s’est retrouvée seule et sans personne pour l’aider, Asa a appris à faire bien des choses : cuisiner, faire le ménage, laver son linge… Et son lieu de vie est toujours parfaitement rangé. Donc si j’ai bien compris, Asa, c’est un peu la maman idéale ? Non pas forcément, mais une chose est sûre : la jeune fille est très maternelle et apprécie grandement la compagnie des enfants. Défauts : Cependant, Asa n’est pas parfaite, hein ? Non, effectivement. Comme tout être humain, elle a des défauts qui contrebalancent avec ses qualités. Ah, j’ai entendu dire qu’elle savait se montrer très autoritaire et intransigeante ? En effet, si elle est compréhensive, Asa a ses limites et une fois franchies, elle sait se faire respecter et ne change en général, pas d’avis. Et puis, le fait qu’elle soit très têtue n’arrange pas son cas… Elle est plutôt introvertie et timide, non ? Oui, Asa n’est clairement pas un moulin à parole, sans pour autant être asociale. Je ne sais pas si c’est vrai, hein, mais il parait que contrairement à cette apparence de jeune fille douce et sage, elle ferait des choses pas forcément très nettes…? Hum, c’est vrai qu’Asa n’a pas toujours vu la vie en rose et a toujours été très fragile psychologiquement. La « perte » de son père et les funestes évènements qui ont suivi ont manqué de lui être fatals… Pourtant, sauvée à temps par les United Heroes, elle a su –officiellement- remonter la pente et devenir une membre responsable et raisonnable. Cependant,à l'époque encore très traumatisée et terrifiée, Asa a fini par se mettre à fumer, pour espérer guérir de ses blessures. Puis après s’être mise à fumer, elle a bu et maintenant, elle se drogue. Asa se meurt, et Asa le sait : pourtant, elle se sent trop faible face à ces dépendances qui sont devenues bien plus envahissantes que ses propres peurs et traumatismes. Personne n’est, à part son dealer, au courant de cette facette d'Asa, car la jeune se sentant honteuse de se savoir dépendante de ces poisons n'ose pas demander de l'aide pour lutter contre ceux-ci… Et puis, une image aussi négative d’elle ne lui permettra sûrement pas de réaliser son rêve…
Famille : Fille unique, elle vivait seule avec son père, sa mère ayant brusquement disparue il y a 3 ans. Ecole : Excellente dans toutes les matières –même en sport-, c’était une élève modèle d’après les enseignants, et juste une intelotte d’après ses camarades. délinquance : Elle se drogue, fume et boit, et reste parfaitement consciente que ses dépendances sont en train de la tuer à petit feu. Mais à part ça, R.A.S, la jeune fille ne s’est même jamais pris une seule heure de colle. Réputation : Considérée comme une stupide adulte par les uns, ou comme une véritable sage par les autres, Asa est surtout connue pour son projet d'instruire les plus jeunes et de fonder une école. Popularité : Populaire depuis l’annonce de son projet de créer une école, mais ça s’arrête là : c’est loin d’être une rock-star et bon nombre de personnes ne la connaissent que de nom. Il faut dire qu’Asa est loin de vouloir se mettre constamment en avant... Arme : Une rapière qu'elle détient de son père et qu'elle cache sous son jupon. Elle ne l'a jamais utilisée et n'espère ne jamais avoir à le faire. Autres : /
◊ What you've been through...Ce que vous avez fait avant la disparition des adultes : : Asa est née à Akashiki, le 3 mars 1998, de parents de condition sociale plutôt aisée, l’un historien de renommée mondiale, l’autre avocate.
C’est dans une grande et somptueuse maison qu’Asa a grandis, comme une petite princesse. Cependant, ses parents, bien que riches, ne l’étaient pas à outrance et n’avaient par exemple, pas 35 femmes de ménages à leur service et Asa fut belle et bien élevée par sa mère et non par une nourrice, contrairement aux clichés sur les personnes aux revenus confortables.
Asa, bien que gâtée et enfant unique, ne développa pas étrangement, une personnalité de petite fille pourrie-gâtée et, déjà très timide à l’époque, passait énormément de temps à lire. Les livres étaient le jardin secret de la jeune fille, le seul endroit où elle pouvait s’y réfugier sans être trop dérangée. Elle montrait aussi un grand intérêt à s’instruire et de nature curieuse, se plaisait à assimiler de nouvelles compétences. Ses parents étaient fiers du vif intérêt que portait leur fille pour les livres mais… Asa était tout de même une enfant marginale et qui n’avait que très peu d’amis. La maîtresse leur rapportait souvent que celle-ci ne souhaitait créer aucun lien avec les autres. Le père de la petite, inquiet du devenir de sa fille, l’inscrit ainsi dans le petit club d’escrime d’une ville aux alentours. Paradoxalement, Asa s’y senti bien plus à l’aise qu’elle ne l’était à l’époque avec ses camarades d’école et se fit de très bons amis là-bas, tout en se découvrant une seconde passion et en développant ses capacités sportives.
Plus Asa grandissait, plus évidemment elle devenait mature, mais surtout, elle s’affirmait : si les premiers contacts avec un inconnu étaient toujours aussi difficiles, Asa savait tout de même se montrer très têtue et ne pas se laisser marcher sur les pieds.
Puis arriva la difficile période de l’adolescence, où l’on n’est jamais d’accord avec ses parents, où l’on trouve sa vie nulle et trop morose et où l’on veut jouer les rebelles. Asa adolescente ne fut pas particulièrement virulente, bien que les différents entre elle et ses parents avaient vu le jour, alors qu’auparavant ils étaient quasiment sur la même longueur d’onde.
Le sujet qui fâchait le plus était probablement celui lié au métier que voulait exercer Asa plus tard : institutrice. En effet la jeune fille se sentait très à l’aise en compagnie des plus jeunes et se plaisait énormément à leur apprendre des nouvelles choses, cette vocation sonnait comme une évidence pour elle. Cependant, monsieur et madame Shimonaga souhaitaient voir leur fille devenir avocate, car, sans dénigrer la profession d’institutrice, souhaitaient le « meilleur » (selon leur définition) pour leur fille… Jamais Asa ne céda, s’accrochant à cette vocation qui prit l’allure d’un véritable rêve, et ce fut même l’inverse : à force d’insister fortement auprès de ses parents, ces derniers acceptèrent, à condition évidemment que celle-ci continue d’avoir d’excellentes notes tout le restant de sa scolarité et qu’elle continue d’avoir une habitude exemplaire.
Mais alors que la petite famille commençait à se ressouder après quelques différents, madame Shimonaga disparut, brusquement, du jour au lendemain, sans prévenir. Ce fut si brusque et si soudain que monsieur Shimonaga n’y croyait pas et se persuadait qu’elle serait de retour dans le courant de la semaine; mais ne voyant pas son épouse rentrer et n’ayant à son avis actuellement aucun problème conjugal, contacta la police qui réussit à remonter jusqu’à l’utilisation billet d’avion en direction de la Chine par cette dernière. Puis ensuite, rien, que dalle, nada. Aurait-elle fui ? Aurait-elle était kidnappée ou soumise à un chantage ? Tant de questions inondèrent ce qui restait de la famille Shimonaga qui avait le souffle coupé par la brutalité d’un tel choc…
Asa souffra beaucoup de cette disparition si soudaine et si difficile… Et dire que le soir avant, sa mère avait embrassé son front, comme chaque soir depuis qu’elle était petite. Seule désormais avec son père, leurs liens père/fille n’en furent évidemment que renforcés, même si le gouffre laissé par sa mère était infranchissable. Aussi, chaque soir, ce même cauchemar revenait : Asa se couchait, comme tous les soirs et disait bonne nuit à son père. Le lendemain matin à son réveil, elle se retrouvait seule ; son père l’avait abandonné. Ces images la hantaient. Son père, inquiet pour sa fille qu’il savait fragile, essayait du mieux qu’il pouvait à surmonter tout ceci. « Ne t’en fais pas, je serais toujours là… » lui répétait-il lorsque celle-ci se mettait à hurler durant nuit, terrifiée après un horrible cauchemar.
Puis vint le jour où les adultes disparurent.
Ce que vous avez fait durant le mois suivant la disparition des adultes : Asa n’y croyait pas, Asa était perdue : son père lui avait promis de rester, il lui avait juré de rester à ses côtés et de la soutenir. Alors…Pourquoi ? Pourquoi l’avait-il trahi ? Pour rejoindre sa mère ? Parce qu’il s’était lassé de la vie en compagnie de sa fille ? Peut-être qu’il ne l’aimait plus ? Asa, telle un chiot abandonné, errait ainsi dans la ville, à la recherche de son père. Jamais elle ne prêta attention aux autres et se contentait de marcher, livide.
Asa vit ainsi des tas de choses pas nettes entre les enfants, des choses parfois malsaines que personne n’aurait jamais pensé voir mais ne disait rien : elle se contentait de marcher et de scruter chaque recoin de la ville, à la recherche de son père. Sauf qu’à un moment, on essaya d’attenter à sa vie. Après tout, il était si risqué de se balader ainsi, alors que l’anarchie commençait à s’installer. Asa n’opposa aucune résistance, et le regard vide, fixait celui qui lui demandait toutes les richesses qu’elle possédait en échange de sa vie sauve. Alors, à ce moment-là, Asa ferme ses paupières, prête à ressentir la lame métallique pénétrer sa chair. Ainsi, elle devait mourir ? Tant pis. Si son père l’avait trahi de la sorte, elle savait que cette plaie ne se refermerait pas et que sa vie était condamnée… Alors à quoi bon ? Autant permettre aux autres enfants d’assouvir leurs pulsions meurtrières plutôt que de mourir transpercée par sa propre lame... Mais Asa fut étonnée de ne pas ressentir la froideur de la lame contre sa peau, au bout de plusieurs longues secondes, quand un cri se fit entendre. Ce n’était pourtant pas le sien, contrairement à ce qu’elle espérait… C’était celui de son agresseur, dont elle sentait les muscles qui la retenaient se détendre. Etonnée, elle ouvrit lentement une première, puis une seconde paupière et vit un jeune homme probablement de son âge, et l’agresseur gisant à terre.
« Je l’ai juste assommé, pas de crainte… Heureusement que je suis passé par là… ! C’est dangereux depuis la disparition des adultes tu sais ! Aller viens, je te raccompagne chez toi… Tu as des frères et sœur ? »
Asa ne répondit pas au jeune homme et n’afficha aucune expression. Mais sous la pression du regard insistant de ce dernier, finit par lui dire :
« Mon père n’est plus là. Il était tout, et il n’est plus là. Envolé, disparu, plouf ! Volatilisé. Sans lui, je ne suis plus qu’une ombre, contrainte de disparaitre à la nuit tombée. Seule. Pour l’éternité. »
Le jeune homme resta sans mot, avant de déclarer :
« Viens avec moi, on va t’aider. »
Asa se laissa faire... Qu’allait-il en faire ? Une prostituée peut-être ? Une esclave ? Qu’importe, elle se fichait bien de cet ensemble de chair et de sang qu’elle était. Pourtant, contre toute attente, on la fit entrer dans une grande maison où elle fut accueillie avec bienveillance par d’autres adolescents et enfants. Beaucoup ont tenté de la réconforter, sans succès, car Asa restait de marbre. Alors au bout d’un moment, le sujet de conversation changea, et les enfants se présentèrent. Elle apprit par exemple, que son sauveur se prénommait Toki Yasumatsu et avait 16 ans. Mais elle apprit surtout que ces enfants souhaitaient créer une organisation démocratique prônant la paix, l’entre-aide et la protection des plus faibles face à toute cette anarchie. Ils demandèrent ainsi à Asa si elle souhaitait la rejoindre… Mais celle-ci resta muette et ne posa même pas un regard sur tous ces enfants qui l’entouraient et essayaient de la réconforter. On la coucha ainsi le soir même sur un matelas de fortune, après l’avoir nourrit à la cuillère (car celle-ci ne daignait même pas de saisir une fourchette ou des baguettes mais ne refusait pas la nourriture qu’on lui présentait à la bouche).
Asa resta dans un état similaire pendant près d’un mois, refusant d’adresser la parole à une quelconque personne et prononçant uniquement le mot « oto-san ». Il arrivait aussi que certains soirs, des larmes perlaient ses joues, mais elle restait toujours immobile, le visage figé.
Puis un jour, alors que la jeune fille restait en compagnie d’autres enfants dans le « QG » provisoire de l’association finalement nommée « United Heroes », elle fit la rencontre de Minami, une petite fille, elle aussi désormais orpheline et trop faible pour survivre seule pour le moment.
« Toi aussi tes parents te manquent ? » lui demanda-t-elle, intriguée par le regard empli de tristesse d’Asa. - Non, pas tous les deux. Ma mère m’avait déjà trahie il y a bien longtemps, la blessure avait eu le temps de cicatriser. C’est la trahison de mon père qui a définitivement provoquée une hémorragie dans mon être… -C’est quoi Unémoraji ? »
Asa, étonnée de cette réponse, tourna la tête vers la petite, dont le regard innocent arriva étrangement à la toucher, elle qui se pensait morte mentalement depuis quelques temps déjà :
« Une hémorragie, c’est quand on saigne énormément. Trop, même. C’est souvent fatal et… -Voui mais je comprends pas la comparaison avec ton père ? Ta mère t’avait frappé pour qu’elle te blesse ? »
Asa, intriguée par la tournure que prenait cette discussion répondit de nouveau à la petite :
« Je compare ma souffrance liée à la perte de ma mère à une blessure, c’est ce que l’on appelle le sens figuré, car elle ne m’a jamais physiquement « blessé ». Mon père agit un peu comme un couteau qu’on ré-enfoncerait dans la plaie récemment cicatrisée… Tu comprends maintenant ? -Oui Onee-san ! Merci de m’avoir appris de nouveaux trucs, tu es trop intelligente !»
Onee…San ? Intelligente ? Asa ne s’attendait sûrement pas à être affabulé d’un tel surnom, ni que l’intelligence de cette masse corporelle putréfiée soit glorifiée… Mais cette petite, si innocente, réveilla en elle ce rêve dont on pensait qu’il avait disparu… Un rêve pour lequel elle avait dû lutter contre ses parents, qu’elle ne contredisait auparavant jamais : enseigner, transmettre ses connaissances aux plus jeunes en devenant institutrice.
C’est alors qu’Asa sembla revivre, ranimée par la flamme de son rêve. Elle se remit ainsi à espérer le retour d’une vie plus colorée, en se fixant un objectif : parvenir à poursuivre l’instruction des plus jeunes en attendant le retour des adultes, mais aussi de les sensibiliser au respect de l’autre et de développer leur esprit-critique, afin que toute cette discorde cesse.
Asa, ainsi motivée, passa du statut de protégée et de réfugiée trop faible à celui d’une membre à part entière des United Heroes. Elle repartit par exemple dans son ancienne maison (ayant toujours les clés), accompagnée de quelques autres membres, afin de récupérer quelques effets personnels qui pourraient être utile à son projet, même si la plus des meubles et objets avaient été volés après que la maison eut été vandalisée… Cependant, au fond d’une armoire, elle découvrit une rapière d’argent finement décorée, qui avait dû probablement appartenir à son père.
Puis tout s’enchaina très vite, Asa reprit peu à peu goût à la vie, mais fut tout de même rattrapée par l’abandon présumé des adultes, et donc, de son père. L’espérance était toujours là et lui permettait d’avancer, mais Asa n’avais jamais été très forte psychologiquement et ne souhaitait plus flancher pour finir par redevenir cet espèce de zombie qu’elle avait été… Alors elle se mit à fumer, espérant ainsi pouvoir maintenir un état mental stable, même dans les moments difficiles. Une clope, puis deux, puis trois… Puis des centaines. Mais ça ne lui suffisait pas, alors elle but, un peu, beaucoup… Trop. Puis il lui fallut passer à quelque chose de plus fort, de plus puissant… Alors elle goûta à la drogue, le poison de trop : de fil en aiguille, elle abandonna ses précédentes dépendances au profit de cette dernière, plus revigorante mais aussi, plus carnacière. C’est dangereux la drogue, elle risque sa vie, elle se meurt Asa et elle le sait. Pourtant, elle ne peut lutter, la bête est trop forte et la peur d’être de nouveau abandonnée a finalement pris l’apparence d’un vulgaire moustique comparé à ce qu’est devenu cette dépendance.
Alors depuis quelques semaines maintenant, elle fricote discrètement avec certains membre du département Green Weed de Crazy 2K14… Mais tout cela reste très secret, vous voyez, Asa ne peut se permettre officiellement un tel comportement depuis qu’elle a annoncé son désir de fonder une école temporaire afin de former au mieux les plus jeunes. Projet qui a suscité beaucoup de réactions diverses et variées et qui restent encore en cours d’étude de la part du gouvernement des United Heroes.
Ainsi, en devenant enseignante, Asa pourrait réaliser son rêve et soutenir les plus jeunes…Elle espère même même que son instinct maternel et sa raison finiront par prendre le dessus sur son indépendance…
◊ You, behind the screen ( ͡° ͜ʖ ͡°)Surnom : Peps, Shoko ou Elo ~ Age : 14 patates ♥ Comment avez-vous découvert le forum : J'ai vogué de partenariat en partenariat à la recherche d'un forum qui retiendrait mon attention... Puis je me suis retrouvée ici ~ Quelque chose à ajouter : Nope, à part que j'adore votre contexte shudsdsqds. Et aussi, j'ai trouvé une ptite faute de frappe dans le règlement (ou dans le contexte, je sais plus éè) mais j'ai pas envie de la souligner, de peur de passer pour miss chieuse xD Code :
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