Nelly AmuraneMessages : 185 Opales : 4058 Commentaires : o/
ID CARD Rôle: Aucun rôle. Âge: 16 ans. Inventaire:
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Sujet: Nelly Amurane Ven 1 Aoû - 19:44 ◊ AMURANE Nelly Nom : Amurane Prénom : Nelly Âge : 16 Date de naissance : 14/05/1998 Sexe : Féminin. Taille : 1m56. Couleur des yeux : Marron/Orange. Nationalité : Japonaise. Adresse : Quartier Nord. Groupe : No Name. Rôle : Nada.
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◊ Présentation | Ce que vous avez fait avant la disparition des adultes : Avant la disparition des parents ? Et bien... Commençons par le début. Je suis née dans une famille plutôt aisée. Maman avait des origines Américaine de ses parents mais avait décidé de vivre au Japon et papa était Japonais. Lors de leurs union, maman prit le nom de famille de papa qui était Amurane, et lorsque je naquis, elle voulait que je porte un prénom anglophone. Mon nom fut donc Nelly Amurane. Je n'ai jamais été populaire. Lors de mes années de collège ainsi qu'à la primaire, personne ne m'appréciait. On me trouvait moche. Tout simplement. J'avais une chevelure vraiment laide, je ne me coiffais pratiquement jamais car je n'en voyais pas l'utilité, des lunettes affreuse à cause de ma presbitie, et mon corps était plutôt enveloppée. Je restais seule pendant les récréations. Personne ne m'adressait la parole. J'avais ma tête dans les livres. Mes seuls « amis ». J'avais toujours été fascinée par l'art. A la maison je faisais de la peinture, de la sculpture, du chant... J'aime l'art. Dans toute ses formes. J'étais la première de la classe. Papa et maman ; qui ont toujours été très gentils avec moi même si je l'étais moins avec eux ; me disaient que j'étais jolie et mignonne. Cela me faisait sourire. Je les croyais. Jusqu'à cet incident. J'étais en quatrième, vers la fin de l'année, dans une classe remplie de personne qui ne pensaient qu'à me rabaisser. J'étais le bouc émissaire voilà tout. Cependant. Lors d'une pause déjeuné, je mangeais seule dans la classe. Comme à mon habitude. Les autres avaient regroupés leurs tables pour manger entre ''amis''. Quatre personnes de ma classe vinrent me voir. Ils se mirent autour de moi. Ils m'ordonnèrent tout en souriant de leurs donner mon repas. Sans même les regarder, je leurs répondit avec le ton le plus froid possible que c'était le miens et que je n'allais pas le donner à des gens comme eux. Voilà qu'ils se mirent à rire. Puis ils partis. J'avais un mauvais pressentiment. Et j'avais bien raison. La fin de la journée se passa normalement. A la fin de la journée, je sortis du collège. J'étais sur le chemin pour rentrer chez moi. C'est alors que quelqu'un m'attrapa et m'amena avec lui au fond d'une ruelle. C'était les quatre filles qui étaient venue me voir lors de la pause déjeuné. Qu'ont-elles fait ensuite ? Et bien. C'est très simple. L'une d'elle me fit tomber en me donnant un coup dans les jambes. Puis elles se mirent à me taper. Je ne pouvais rien faire. Quatre personnes contre moi. Je ne savais même pas pourquoi est-ce que l'ont me faisait ça. ''Ah il faudra que je me lave les mains j'ai touchée la fille la plus détesté et la plus moche de la classe ! Beurk. Tiens prend ça.'' Juste après ces phrases elle me cracha à la figure puis les quatre filles partirent. ''La prochaine fois quand on te dis de nous donner ton repas tu le feras.'' J'étais recroquevillé sur moi même. J'avais mal. Je pleurais. Mon visage me brûlait. Mon ventre et mes jambes quant à elle me faisait souffrir. Qu'est-ce que j'avais fait pour mériter ça ? Je ne faisais de mal à personne. L'être humain est vraiment horrible. Je réussis à rentrer à la maison. Par chance papa et maman n'étaient pas encore arrivé. Je m’empressai d'aller dans la salle de bain pour essayer d'oublier ce qu'il venait de m'arriver. J'étais vraiment moche. J'avais honte de moi. A partir de maintenant, je ne parlerais plus aux autres. L'être humain peut vraiment faire des choses horrible envers les personnes de la même espèce que lui. Je ne le comprendrais jamais. Voilà que j'avais décidé de m'isoler complètement. Papa et maman commencèrent à s'inquiéter. Lorsque je leurs disaient que j'étais horrible, ils me répondirent que non. Ce n'était qu'un mensonge. Ils ne valaient pas mieux que les autres. C'était de leurs faute si j'étais dans comme je suis. Je ne mangeais plus à la maison. Je voulais perdre du poids. Je voulais être belle. J'inquiétais beaucoup mes parents. Mais je m'en moquais. Un an et quelques mois passèrent. Je suis rentrée au lycée. Mon apparence à beaucoup changée. Durant mon année de troisième, j'ai perdue du poids en me faisant vomir après chaque repas, je faisais beaucoup de sports que se soit de la course, du tennis, vélo... j'avais aussi prit soin de mon apparence, en allant chez le coiffeur. Je garda ma longueur et fis une légère frange. Je retira mes lunettes et mit à la place des lentilles de contact, pour laisser apparaître mes yeux noisette/orange. Il faut l'avouer, je m'étais vraiment embellit. A peine est-ce que je fus rentrée dans un lycée plutôt réputée, plusieurs garçon me tournèrent autour. J'étais contente qu'ils viennent vers moi. J'avais l'impression d'exister. Au bout d'un mois, Je finis remarquer que les gens venaient vers moi comme des mouches à cause de mon apparence. Je les détestaient encore plus car je voyais bien que dans cette société le physique comptait énormément. Trop même. Je faisais partie des populaires sans même le vouloir. Je ne voulais pas appartenir à un clan. Je ne parlais à personne, je restais dans mon coin à lire des livres, et encore on venait me parler. On voulait manger avec moi, rester avec moi pendant les récréations... Je me sentais assez supérieure. Mais cela fut de courte durée. Des rumeurs commencèrent à se répandre comme quoi je m'étais fait faire de la chirurgie esthétique pour maigrir. C'était totalement faux. Et qui est-ce qui avait lancé ces rumeurs ? Des filles de mon ancien collège. Même au lycée il faut que je sois rabaissé. A chaque fois que je rentrais à la maison, je fondais en larme dans mon lit. Papa et maman ne comprenait jamais pourquoi est-ce que j'étais aussi dure avec eux quand je leurs parlais. Un soir, je m'étais énervé toute seule contre eux et je fugua de chez moi. Sans leurs donner une raison valable de cela.
ET / OU
Ce que vous avez fait pendant le mois suivant la disparition des adultes : Deux jours après, je revins chez moi. Je regrettais d'avoir fuguée. C'était stupide de ma part. Je toqua à la porte mais personne ne me répondit. Cela commençait à m'inquiéter. Mais je finis par comprendre qu'étant donné que l'on était Mardi, papa et maman travaillaient. Je passa donc par la fenêtre de ma chambre pour rentrer. C'est bien une maison vide. C'est calme. J'avais décidée de ne pas aller en cours. Je dirais à papa que j'ai eu une crise d'hypoglycémie comme j'en fais d'habitude puis il me fera un mot. 22H30. Ils n'étaient toujours pas rentrée. Je m'inquiétais vraiment. Je me décida donc d'appeler sur leurs numéro de téléphone. ''Ce numéro n'est pas attribué. Veuillez réessayer.''. Je resta figée. Comment ça ? Ce n'est pas possible... Est-ce qu'ils se seraient enfuis en m'abandonnant ? Cette idée me traversant l'esprit me fit lâcher mon téléphone que j'avais dans ma mains gauche et quelques larmes de plus en plus nombreuses arrivèrent et coulèrent le long de mon visage devenu pâle. Je ne comprenais rien. J'étais perdue. Je me disais qu'ils allaient revenir et que c'était une blague. 2 jours après, je restais persuadée qu'ils allaient revenir. La nourriture commençait à devenir presque inexistante dans ma maison. ''Ce numéro n'est pas attribué. Veuillez réessayer.'' Je rigolais. Tout en pleurant. J'étais donc abandonné. Seule. J'avais peur. Même si parfois je leurs parlaient mal, je ne pouvais pas être séparé d'eux du jours au lendemain. C'était trop brutal. Et en plus juste après que j'ai fuguée... J'avais honte. Si j'avais sut, je ne l'aurais pas fait. Je commençais à devenir parano'. Seule dans une grande maison. J'avais l'impression qu'il y avait des gens qui voulaient entrer dans ma maison. A l'aide de la batte de base-ball de mon papa, à chaque fois que j'entendais à bruit dans la maison je donnais un grand coup de batte en criant de peur. Je ne dormais plus la nuit. Le lendemain je décida de partir de chez moi. En gardant ma batte de base-ball. Pourquoi la garder ? Je ne sais pas. Pour me sentir en sécurité probablement. Sur ma route, je ne vis que des enfants ou des adolescents. Aucun adultes. ''Les adultes ont disparût.'' C'est ce que je venais d'entendre. Cette nouvelle me paralysa. Comment ça ils avaient disparut ? C'est impossible. Je n'y croyais pas. Les jours passèrent et les adolescents commencèrent à former des clans. Je n'acceptais pas d'appartenir à l'un d'eux. Je ne me sent pas à ma place dans un clan. Je décida de partir seule, sans aucun but, en prenant avec moi la batte de base-ball de mon papa à la mains. |
◊ Derrière l'écran Surnom : Patate, Nanochou, Melo'... ~ Âge : 15 ans. Code : Validé par moi o/ Comment avez-vous découvert le forum : Envie sauvage de créer un forum. Quelque chose à ajouter : Nope.
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