Leiko KagomeMessages : 432 Opales : 4156 Date de naissance : 23/09/1998 Age : 26 Localisation : Dans la cave à vin ou la camionnette. Humeur : SUPER PINKOSTU ! ~ Commentaires : Je me présente ici.
「Vous savez qui c'est mon Shota d'amour ?」
「C'est... ano... m-mo...moi ?」
「Oui mon Lenouille tu es mon mien ! Kukuku~」
ID CARD Rôle: Déserteur Âge: 17 ans Inventaire:
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Sujet: Leiko Kagome, l'adolescente solitaire. Lun 4 Aoû - 2:36 LEIKO KAGOMELa solitude n'est un mauvais sentiment que lorsqu'elle n'est pas désirée. ◊ Talk about yourself !Nom : Kagome Prénom : Leiko Âge : 17 ans Date de naissance : 30 juin 1997 Sexe : Femelle Taille : 1m66 Couleur des yeux : Bleus Nationalité : Japonaise Adresse : Quartier résidentiel Nord. Groupe : No Name Rôle : Déserteur Avatar : IA by Vocaloid Qualités : [BEFORE] gentille, agréable, douce, sociable, sérieuse, drôle. [NOW] observatrice, organisée, créative, spontanée. Défauts : [BEFORE] jalouse, n'ose pas s'affirmer, incomprise, impulsive, sensible, superficielle. [NOW] associable, méfiante, froide, étrange, hallucinante, dans son propre monde, ne s'aime pas, lunatique. Famille : Mère décédée, père veuf célibataire et fille unique. Ecole : Sérieuse, première de la classe. délinquance : Anciennement trop gentille pour ça. Réputation : Les gens l'évite, Leiko paraît extérieurement trop "parfaite", parfois étrange avec un comportement qui passe du superficiel au dérangé. Mais elle ne s'en rend même pas compte et ne comprend pas le rejet autour d'elle. Popularité : Mauvaise, personne n'essaye de la comprendre pas même celle qu'elle considère comme étant sa meilleure amie. Arme : Son couteau de cuisine qu'elle emporte avec elle pour se défendre, ou attaquer impulsivement. Autre : Elle est atteinte d'une maladie mentale, la schizophrénie. Ce n'est pas encore apparu totalement mais cela la ronge peu à peu. ◊ What you've been through...Ce que vous avez fait avant la disparition des adultes : Une jeune fille en pleine santé, bon environnement, débordant de joie, elle avait tout à envier. Son nom était Leiko Kagome. Aujourd'hui était pour elle un jour spécial. En effet, c'était le jour de son anniversaire ; 9 ans déjà. Sa mère qu'elle adorait lui avait promis une journée rien qu'entres elles, son père aurait voulu être présent mais son travail l'empêchait chaque jour d'être à ses côtés et de s'occuper de sa fille. En fin de journée, sa mère l'emmena dans une bijouterie où elle pourra choisir le cadeau qui lui convient. Leiko était le genre de fille à préférer les bijoux aux poupées et les robes aux jouets, sans pour autant en abuser. Peu de temps après avoir acheté un collier, avant de sortir du magasin, des types en noir avec un masque sur la tête et arme en main braquèrent la bijouterie. Tout avait été fermé sous commande et les otages après une fouille corporel et après avoir été ligotés furent réunis dans un coin près de la caisse. L'un de ces agresseurs prit le collier de Leiko. Enragée, sans craintes mais surtout inconsciente de la situation, elle lui cria de lui rendre son collier en lui lançant amèrement des jurons. Agacé de la révolte d'une aussi jeune fille, l'homme ne tarda pas à mettre ses menaces en exécution et pointa son arme sur Leiko. Elle ferma les yeux, entendit un bruit sourd qui frappait ses tympans en écho. Elle ouvrit à nouveaux doucement ses yeux, apeurée, pour y voir le plus horrible des spectacles auquel elle n'a jamais assisté auparavant. Sa mère était devant elle sur le sol en sang, ne réagissant plus. Leiko cria de toute sa voix en la prenant dans ses bras. Tellement choquée à la vue de cette scène elle s'évanoui sur le sol, auprès de sa défunte mère. Suite à cela, son père et elle même déménagèrent à Akashiki, loin de cette tragédie, dans le quartier nord de la ville. Depuis cet anniversaire des plus sanglants, il n'avait jamais pardonné Leiko, l'accusant d'être fautive de la mort de sa femme. Les années suivantes son père l'ignorait, ne s'occupait pas d'elle la délaissant. Il rentrait tard le soir et partait tôt le matin. Ce n'est qu'en entrant au collège que Leiko s'habitua à sa nouvelle vie et à son indépendance. Elle reprit le court de sa vie normalement et se fit de nouveaux amis. Leiko était devenue une fille tout à fait banale. Les personnes autour d'elle l'aimait et l'enviait, elle s'embellissait au fil du temps. Mais ses notes restaient désastreuses. C'est pour cela que son père, à la fin de ses années de collège, prit la mesure radicale de l'emmener au lycée Yokosuka High School, pensant que les amis de Leiko la perturbait dans ses études. Là bas, elle n'avait pas d'amis. Ce lycée était majoritaire aux garçons, qui ne faisaient pas attention à une jeune nouvelle comme elle. Le peu de filles qu'abritait ce lycée l'ignorait. Elle ne comprenait pas pourquoi, elle faisait pourtant l'impossible pour être agréable. L'on racontait qu'elle était trop parfaite, trop belle, devenue que trop sérieuse dans ses études depuis son arrivée ici, toujours souriante et trop riche aux goûts des autres. Que ce soit par jalousie ou pur égoïsme, à cause de cela ces autres filles se moquaient d'elles et ne l'approchait que par profit, par exemple pour lui quérir de l'argent ou en tant que simple bouche trou. Leiko en souffrait, elle remarquait sa solitude et restais ainsi durant un an. L'année suivante, une nouvelle camarade de classe du nom de Yuzuki fit son apparition et Leiko fut la seule à l'accueillir avec son plus beau sourire. Elles devinrent meilleures amies. Pour la première fois depuis qu'elle habite à Akashiki, Leiko passa son anniversaire avec quelqu'un, ce fut auprès de sa meilleure amie. Mais elle ne voulait pas pour autant fêter ses 17 ans. Après interrogation de la part de Yuzuki, Leiko décida de raconter pourquoi elle en était au point de détester la date qui marquait sa naissance. Après ces lourdes révélations, Yuzuki resta choquée, puis bredouilla quelques paroles incompréhensibles. Leiko aperçu un fin sourire se dessiner sur le visage de son amie qui s'enfuit ensuite comme une voleuse, laissant Leiko seule avec ses regrets et ses souvenirs. C'était la première fois qu'elle en parlait avec quelqu'un. Leiko était là, assise sur le bord du trottoir, délaissée par sa meilleure amie. A nouveau elle ne comprenait pas la réaction des gens. Elle pensait que Yuzuki avait simplement fuit par peur, ou choque. Leiko resta là à se demander pourquoi tout le monde fuit devant elle. La jeune fille baissa la tête et vis une flaque d'eau entre ses pieds. Elle observa quelques secondes son reflet puis écrasa sauvagement la flaque, comme si elle voulait s'effacer à ce moment précis. Le lendemain, la jeune lycéenne n'avait toujours pas eu de nouvelle de Yuzuki depuis cette révélation. Elle s'inquiétait à propos de sa seule amie, se demandait comment elle avait réagi au plus profond d'elle et regrettait de lui en avoir parlé. Leiko alla à son lycée respectif en s'efforçant d'afficher comme toujours un visage radieux alors qu'elle avait la tête remplie de questions. Les gens qui la connaissait autour d'elle la dévisageait davantage que d'habitude, ils murmuraient en la regardant étrangement. Un sentiment désagréable pesait lourdement sur Leiko qui s'assit sur un banc dans la cour en attendant son amie. Ce n'est pas Yuzuki qui la rejoignit, mais une autre camarade de classe qui la méprisait depuis son arrivée au lycée pour une raison que Leiko ignorait encore. D'un ton hautain, la fille lui adressa " Alors comme ça miss parfaite cache de lourds secret ? J'aurais honte à ta place. ", et s'en alla. L'intéressée ne répondit pas, ravalant ses larmes dans une certaine incompréhension vis à vis de ce qu'elle lui avait dit. Leiko vis Yuzuki, elle allait pour la rejoindre et vis que cette même fille se dirigeait vers elle. Elles se parlèrent et se prirent même par la main pour se diriger vers la salle de classe. Leiko les pourchassa et demanda à Yuzuki ce qui se passait. C'est cette même fille abject qui répondit une nouvelle fois, " Maintenant Yuzuki est MON amie, va te cacher derrière le cadavre de ta mère dont tu t'es servi pour rester en vie ! ". Impulsivement, Leiko la gifla et tourna les talons vers la sortie du lycée, préférant ne pas y aller pour aujourd'hui. Derrière ses pas, elle entendait des jurons et autres piques mesquines à son intention, mais ne se retourna pas et s'enfuit. Cela faisait une semaine que Leiko n'allait plus en cours et ne sortait plus de chez elle, s'enfermant dans sa chambre jour et nuit. Un soir, son père alla à sa rencontre et lui demanda sévèrement pourquoi elle n'allait plus en cours en lui montrant une convocation de la part du lycée. Après une dispute des plus animées, Leiko lui lança ces mots " J'aimerais que tu disparaisses, toi et tout le monde ! Que ce soit toi qui soit mort à la place de maman ! ". A ces mots, il partit sans piper mot en claquant la porte pour montrer son mécontentement.
ET
Ce que vous avez fait durant le mois suivant la disparition des adultes : C'est un bruit d'alarme qui fit sortir de ses rêves la jeune fille enfermée dans ses tourments. Il était indiqué 11h12 sur son réveil. Une fois levée, elle se pencha par la fenêtre et entendit des enfants discuter à propos du fait que les professeurs et les parents étaient partis on ne sait où. Encore un peu endormie, Leiko se dirigea dans sa salle de bain et se fixa un moment dans le miroir. Elle était comme paralysée par son apparence, ou du moins par elle même. Plus elle se regardait droit dans les yeux, plus sa haine envers elle même grandissait. Dans un élan soudain, elle se mit à crier sur son propre miroir " Je te déteste ! Je te déteste tellement ! Crèves, tu mérites que ça ! " et elle continua ainsi pendant d'interminables minutes. Continuant dans son impulsive colère, Leiko frappa son miroir et le brisa. Le verre lui avait ouvert la main, elle regardait le sang s'échapper de sa peau mais elle ne craignait plus sa douleur physique, bien trop tenaillée par sa douleur mentale fissurée de toutes parts. Quatre jours passèrent, la fille solitaire restait chez elle, sans nouvelles de son père. Leiko remarquait que le quartier était très agitée depuis un moment. Mais elle se fichait de ce qu'il se passait, elle haïssait presque autant autrui qu'elle se haïssait elle même. Par simple ennui, elle scruta au travers de sa fenêtre et vis, à la lumière de la Lune, en bas de la rue un enfant se faire tabasser. Les agresseurs lui criait qu'il ne faisait plus le malin maintenant que les adultes avaient disparus. A ce moment, Leiko fit le lien entre la disparition de son père et ces paroles. Pris d'une panique, elle tenta de l'appeler sur son téléphone pour finalement voir que celui ci était resté dans la chambre. Pourtant son père ne partait jamais sans son téléphone, c'était son outil de travail indispensable à sa vie quotidienne. C'est l'esprit chamboulé qu'elle partit se coucher. Le jour suivant était banale, excepté le fait que Leiko scrutai par la fenêtre au vue d'en apprendre plus sur cette dite disparition des adultes. Mais tout ce qu'elle voyait était des jeunes qui dégradaient le quartier et frappaient les plus faibles, sans qu'il n'y ai aucun majeur pour imposer leurs règles. C'est au lendemain en milieu d'après midi qu'un groupe composé entièrement de garçons cambriola la maison. Leiko fut prise au dépourvu, l'un des agresseurs tenta de la toucher mais elle lui planta dans la gorge le couteau qu'elle avait caché près d'elle pour se défendre et le poussa du haut du deuxième étage. Elle pu s'enfuir de chez elle. Quittant son quartier au pas de course, Leiko pensait " Je l'ai tué ? Je l'ai tué... Je l'ai tué ! " et revoyait la scène en boucle. Elle passa dans une allée sombre et tomba nez à nez avec une personne bien particulière. Yuzuki était là, assise enroulée dans une couverture dos au mur et se leva à la vue de Leiko. Elles furent toute les deux choquées de voir l'autre ainsi et ici. Leiko prit en première la parole, tenaillée par une certaine question, " Pourquoi tu l'as dit aux autres concernant ma mère, pourquoi cette trahison ? On était meilleure amie... non ? ". Yuzuki répondit froidement " Tu ne peux pas savoir à quel point je te détestais, toi et ta gentillesse, ta beauté qui me rendait invisible à tes côtés, et surtout tes sourires imbéciles qui en plus de te rendre sublime montrait à quel point tu étais parfaite ! J'en avais marre de t'être autant inférieure, alors quand j'ai appris que tu avais un point faible j'étais tellement heureuse à l'idée de le répéter. Ce n'est pas pour rien si on te déteste, je ne t'ai jamais considéré comme une amie ! ". Suite à cela, un silence pesait lourdement sur la tension ambiante entres les deux adolescentes. Leiko ne savait pas comment réagir et était embrouillée par ses sentiments enfouis depuis trop longtemps. Prise d'une rage incontrôlable, elle attrapa Yuzuki par le col et commença à l'étrangler en la secouant tout en lui criant " Je suis si parfaite ? Et maintenant, je le suis toujours ? Pourquoi l'on me déteste autant, je fais pourtant tout pour être agréable ! J'ai été la seule à te tendre la main quand tu étais seule et rejetée dans la classe ! Et tu m'as trahi, moi celle qui te considérait comme sa meilleure amie ! ", elle continua ainsi en serrant davantage son cou frénétiquement et brutalement. Libérée de ses pensées au fond de son cœur, Leiko se calma enfin et prit conscience de la situation et de son geste. Elle lâcha sa victime qui ne respirait plus, et fuit le plus loin possible de son crime, en pleine panique. " Je suis un monstre... une monstruosité ! " Elle courait depuis quelques minutes déjà, elle voulait fuir de la ville. Voyant à l'horizon un brouillard cachant la limite d'Akashiki, Leiko se pressa à partir le plus loin possible d'ici. Mais en entrant à l'intérieur de l'épais nuage elle fut ramenée à la ville, comme piégée dans un couloir qui n'avait pas de fin. ◊ You, behind the screen ( ͡° ͜ʖ ͡°)Surnom : Kamisama, Leikoko, Koko-chan, Pédoleiko, planche (;w;), Romio, Nynychou, Twincest, Fny. Age : Je suis née le 23 septembre 1998, comme ça vous me souhaiterez bon anniversaire et j'ai pas besoin de changer KUKUKU ! Comment avez-vous découvert le forum : J'ai secouru ces pauvres âmes en manque d'inspirations, puis fait parti intégrante du staff de ce Forum gnihaha ! #TrueStory Quelque chose à ajouter : C'EST QUI LA MEILLEURE DES ADMINS ? C'EST MUAAAH ! Code :
- Ancienne fiche:
◊ Kagome Leiko Nom : Kagome Prénom : Leiko Âge : 17 ans Date de naissance : 30 juin 1997 Sexe : Femelle Taille : 1m66 Couleur des yeux : Bleus Nationalité : Japonaise Adresse : Quartier résidentiel Nord. Groupe : No Name Rôle : Déserteur
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◊ Présentation | Ce que vous avez fait avant la disparition des adultes : Une jeune fille en pleine santé, bon environnement, débordant de joie, elle avait tout à envier. Son nom était Leiko Kagome. Aujourd'hui était pour elle un jour spécial. En effet, c'était le jour de son anniversaire ; 9 ans déjà. Sa mère qu'elle adorait lui avait promis une journée rien qu'entres elles, son père aurait voulu être présent mais son travail l'empêchait chaque jour d'être à ses côtés et de s'occuper de sa fille. En fin de journée, sa mère l'emmena dans une bijouterie où elle pourra choisir le cadeau qui lui convient. Leiko était le genre de fille à préférer les bijoux aux poupées et les robes aux jouets, sans pour autant en abuser. Peu de temps après avoir acheté un collier, avant de sortir du magasin, des types en noir avec un masque sur la tête et arme en main braquèrent la bijouterie. Tout avait été fermé sous commande et les otages après une fouille corporel et après avoir été ligotés furent réunis dans un coin près de la caisse. L'un de ces agresseurs prit le collier de Leiko. Enragée, sans craintes mais surtout inconsciente de la situation, elle lui cria de lui rendre son collier en lui lançant amèrement des jurons. Agacé de la révolte d'une aussi jeune fille, l'homme ne tarda pas à mettre ses menaces en exécution et pointa son arme sur Leiko. Elle ferma les yeux, entendit un bruit sourd qui frappait ses tympans en écho. Elle ouvrit à nouveaux doucement ses yeux, apeurée, pour y voir le plus horrible des spectacles auquel elle n'a jamais assisté auparavant. Sa mère était devant elle sur le sol en sang, ne réagissant plus. Leiko cria de toute sa voix en la prenant dans ses bras. Tellement choquée à la vue de cette scène elle s'évanoui sur le sol, auprès de sa défunte mère. Suite à cela, son père et elle même déménagèrent à Akashiki, loin de cette tragédie, dans le quartier nord de la ville. Depuis cet anniversaire des plus sanglants, il n'avait jamais pardonné Leiko, l'accusant d'être fautive de la mort de sa femme. Les années suivantes son père l'ignorait, ne s'occupait pas d'elle la délaissant. Il rentrait tard le soir et partait tôt le matin. Ce n'est qu'en entrant au collège que Leiko s'habitua à sa nouvelle vie et à son indépendance. Elle reprit le court de sa vie normalement et se fit de nouveaux amis. Leiko était devenue une fille tout à fait banale. Les personnes autour d'elle l'aimait et l'enviait, elle s'embellissait au fil du temps. Mais ses notes restaient désastreuses. C'est pour cela que son père, à la fin de ses années de collège, prit la mesure radicale de l'emmener au lycée Yokosuka High School, pensant que les amis de Leiko la perturbait dans ses études. Là bas, elle n'avait pas d'amis. Ce lycée était majoritaire aux garçons, qui ne faisaient pas attention à une jeune nouvelle comme elle. Le peu de filles qu'abritait ce lycée l'ignorait. Elle ne comprenait pas pourquoi, elle faisait pourtant l'impossible pour être agréable. L'on racontait qu'elle était trop parfaite, trop belle, devenue que trop sérieuse dans ses études depuis son arrivée ici, toujours souriante et trop riche aux goûts des autres. Que ce soit par jalousie ou pur égoïsme, à cause de cela ces autres filles se moquaient d'elles et ne l'approchait que par profit, par exemple pour lui quérir de l'argent ou en tant que simple bouche trou. Leiko en souffrait, elle remarquait sa solitude et restais ainsi durant un an. L'année suivante, une nouvelle camarade de classe du nom de Yuzuki fit son apparition et Leiko fut la seule à l'accueillir avec son plus beau sourire. Elles devinrent meilleures amies. Pour la première fois depuis qu'elle habite à Akashiki, Leiko passa son anniversaire avec quelqu'un, ce fut auprès de sa meilleure amie. Mais elle ne voulait pas pour autant fêter ses 17 ans. Après interrogation de la part de Yuzuki, Leiko décida de raconter pourquoi elle en était au point de détester la date qui marquait sa naissance. Après ces lourdes révélations, Yuzuki resta choquée, puis bredouilla quelques paroles incompréhensibles. Leiko aperçu un fin sourire se dessiner sur le visage de son amie qui s'enfuit ensuite comme une voleuse, laissant Leiko seule avec ses regrets et ses souvenirs. C'était la première fois qu'elle en parlait avec quelqu'un. Leiko était là, assise sur le bord du trottoir, délaissée par sa meilleure amie. A nouveau elle ne comprenait pas la réaction des gens. Elle pensait que Yuzuki avait simplement fuit par peur, ou choque. Leiko resta là à se demander pourquoi tout le monde fuit devant elle. La jeune fille baissa la tête et vis une flaque d'eau entre ses pieds. Elle observa quelques secondes son reflet puis écrasa sauvagement la flaque, comme si elle voulait s'effacer à ce moment précis. Le lendemain, la jeune lycéenne n'avait toujours pas eu de nouvelle de Yuzuki depuis cette révélation. Elle s'inquiétait à propos de sa seule amie, se demandait comment elle avait réagi au plus profond d'elle et regrettait de lui en avoir parlé. Leiko alla à son lycée respectif en s'efforçant d'afficher comme toujours un visage radieux alors qu'elle avait la tête remplie de questions. Les gens qui la connaissait autour d'elle la dévisageait davantage que d'habitude, ils murmuraient en la regardant étrangement. Un sentiment désagréable pesait lourdement sur Leiko qui s'assit sur un banc dans la cour en attendant son amie. Ce n'est pas Yuzuki qui la rejoignit, mais une autre camarade de classe qui la méprisait depuis son arrivée au lycée pour une raison que Leiko ignorait encore. D'un ton hautain, la fille lui adressa " Alors comme ça miss parfaite cache de lourds secret ? J'aurais honte à ta place. ", et s'en alla. L'intéressée ne répondit pas, ravalant ses larmes dans une certaine incompréhension vis à vis de ce qu'elle lui avait dit. Leiko vis Yuzuki, elle allait pour la rejoindre et vis que cette même fille se dirigeait vers elle. Elles se parlèrent et se prirent même par la main pour se diriger vers la salle de classe. Leiko les pourchassa et demanda à Yuzuki ce qui se passait. C'est cette même fille abject qui répondit une nouvelle fois, " Maintenant Yuzuki est MON amie, va te cacher derrière le cadavre de ta mère dont tu t'es servi pour rester en vie ! ". Impulsivement, Leiko la gifla et tourna les talons vers la sortie du lycée, préférant ne pas y aller pour aujourd'hui. Derrière ses pas, elle entendait des jurons et autres piques mesquines à son intention, mais ne se retourna pas et s'enfuit. Cela faisait une semaine que Leiko n'allait plus en cours et ne sortait plus de chez elle, s'enfermant dans sa chambre jour et nuit. Un soir, son père alla à sa rencontre et lui demanda sévèrement pourquoi elle n'allait plus en cours en lui montrant une convocation de la part du lycée. Après une dispute des plus animées, Leiko lui lança ces mots " J'aimerais que tu disparaisses, toi et tout le monde ! Que ce soit toi qui soit mort à la place de maman ! ". A ces mots, il partit sans piper mot en claquant la porte pour montrer son mécontentement.
ET / OU
Ce que vous avez fait pendant la semaine suivant la disparition des adultes : C'est un bruit d'alarme qui fit sortir de ses rêves la jeune fille enfermée dans ses tourments. Il était indiqué 11h12 sur son réveil. Une fois levée, elle se pencha par la fenêtre et entendit des enfants discuter à propos du fait que les professeurs et les parents étaient partis on ne sait où. Encore un peu endormie, Leiko se dirigea dans sa salle de bain et se fixa un moment dans le miroir. Elle était comme paralysée par son apparence, ou du moins par elle même. Plus elle se regardait droit dans les yeux, plus sa haine envers elle même grandissait. Dans un élan soudain, elle se mit à crier sur son propre miroir " Je te déteste ! Je te déteste tellement ! Crèves, tu mérites que ça ! " et elle continua ainsi pendant d'interminables minutes. Continuant dans son impulsive colère, Leiko frappa son miroir et le brisa. Le verre lui avait ouvert la main, elle regardait le sang s'échapper de sa peau mais elle ne craignait plus sa douleur physique, bien trop tenaillée par sa douleur mentale fissurée de toutes parts. Quatre jours passèrent, la fille solitaire restait chez elle, sans nouvelles de son père. Leiko remarquait que le quartier était très agitée depuis un moment. Mais elle se fichait de ce qu'il se passait, elle haïssait presque autant autrui qu'elle se haïssait elle même. Par simple ennui, elle scruta au travers de sa fenêtre et vis, à la lumière de la Lune, en bas de la rue un enfant se faire tabasser. Les agresseurs lui criait qu'il ne faisait plus le malin maintenant que les adultes avaient disparus. A ce moment, Leiko fit le lien entre la disparition de son père et ces paroles. Pris d'une panique, elle tenta de l'appeler sur son téléphone pour finalement voir que celui ci était resté dans la chambre. Pourtant son père ne partait jamais sans son téléphone, c'était son outil de travail indispensable à sa vie quotidienne. C'est l'esprit chamboulé qu'elle partit se coucher. Le jour suivant était banale, excepté le fait que Leiko scrutai par la fenêtre au vue d'en apprendre plus sur cette dite disparition des adultes. Mais tout ce qu'elle voyait était des jeunes qui dégradaient le quartier et frappaient les plus faibles, sans qu'il n'y ai aucun majeur pour imposer leurs règles. C'est au lendemain en milieu d'après midi qu'un groupe composé entièrement de garçons cambriola la maison. Leiko fut prise au dépourvu, l'un des agresseurs tenta de la toucher mais elle lui planta dans la gorge le couteau qu'elle avait caché près d'elle pour se défendre et le poussa du haut du deuxième étage. Elle pu s'enfuir de chez elle. Quittant son quartier au pas de course, Leiko pensait " Je l'ai tué ? Je l'ai tué... Je l'ai tué ! " et revoyait la scène en boucle. Elle passa dans une allée sombre et tomba nez à nez avec une personne bien particulière. Yuzuki était là, assise enroulée dans une couverture dos au mur et se leva à la vue de Leiko. Elles furent toute les deux choquées de voir l'autre ainsi et ici. Leiko prit en première la parole, tenaillée par une certaine question, " Pourquoi tu l'as dit aux autres concernant ma mère, pourquoi cette trahison ? On était meilleure amie... non ? ". Yuzuki répondit froidement " Tu ne peux pas savoir à quel point je te détestais, toi et ta gentillesse, ta beauté qui me rendait invisible à tes côtés, et surtout tes sourires imbéciles qui en plus de te rendre sublime montrait à quel point tu étais parfaite ! J'en avais marre de t'être autant inférieure, alors quand j'ai appris que tu avais un point faible j'étais tellement heureuse à l'idée de le répéter. Ce n'est pas pour rien si on te déteste, je ne t'ai jamais considéré comme une amie ! ". Suite à cela, un silence pesait lourdement sur la tension ambiante entres les deux adolescentes. Leiko ne savait pas comment réagir et était embrouillée par ses sentiments enfouis depuis trop longtemps. Prise d'une rage incontrôlable, elle attrapa Yuzuki par le col et commença à l'étrangler en la secouant tout en lui criant " Je suis si parfaite ? Et maintenant, je le suis toujours ? Pourquoi l'on me déteste autant, je fais pourtant tout pour être agréable ! J'ai été la seule à te tendre la main quand tu étais seule et rejetée dans la classe ! Et tu m'as trahi, moi celle qui te considérait comme sa meilleure amie ! ", elle continua ainsi en serrant davantage son cou frénétiquement et brutalement. Liberée de ses pensées au fond de son cœur, Leiko se calma enfin et prit conscience de la situation et de son geste. Elle lâcha sa victime qui ne respirait plus, et fuit le plus loin possible de son crime, en pleine panique. " Je suis un monstre... une monstruosité ! " Elle courait depuis quelques minutes déjà, elle voulait fuir de la ville. Voyant à l'horizon un brouillard cachant la limite d'Akashiki, Leiko se pressa à partir le plus loin possible d'ici. Mais en entrant à l'intérieur de l'épais nuage elle fut ramenée à la ville, comme piégée dans un couloir qui n'avait pas de fin.
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◊ Derrière l'écran Surnom : Nany, Fannou, Nynychou, Twincest, Fny, Kamisama. Âge : 15 ans. Code : Code Validay par Ulrick trololoComment avez-vous découvert le forum : J'ai secouru ces pauvres âmes en manque d'inspirations, puis fait parti intégrante du staff de ce Forum gnihaha ! Quelque chose à ajouter : Je fais des câlins à Nelly, Usami et Ulrick s'ils sont sages. | |
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