Ce que vous avez fait avant la disparition des adultes : Alors que tu observes les différents enfants autour de toi, personne ne cherche à te parler. Ce n'est qu'un silence pensant, certain te fixe d'une certaine façon tout en gesticulant leur petit doigt vers toi. Que se racontent-ils de si marrant pour qu'ils se mettent à rigoler si soudainement. Ça ne semble pas est quelque chose de bien gentil mais des paroles blessantes. Mais tu sais très bien ce qu'ils se disent, c'est si évident toi la fille sans parents. Orpheline de naissance, les autres semblent bien s'en ficher de ce que tu peux ressentir. Tu t'en fiche bien d'eux, ce ne sont pas tes amis, tu continues donc ta vie comme si de rien n'était. Tu es froide solitaire et dans tes yeux on pouvait lire une sorte d'indifférence quand tu voyais l'un de tes camarades se faire mal. Ils continueront leurs moqueries jusqu’à ce que tu parviennes enfin au collège. Le comportement de certain va-t-il changer ou vont il resté si mesquin pour ces trois années à suivre ? Rien, encore plus silencieux qu’avant. Tu restes encore seule dans ce monde cruel. Tu te rends alors compte que personne au grand jamais personne ne pourra témoigner ce qu’on appelle l’amitié envers toi. Bizarrement tu semble t’en remettre facilement et commence alors à sécher les cours, a quoi servent-ils de toute façon. Tu te balades en ville plus souvent et croise alors tellement de monde. Mais toujours aucun sourire. Ton visage fermé ne reflète aucun sentiment. Ni la trace de bonheur ni même la trace d’une larme passagère. Tu continues donc ta vie de débauche. Tu ne rentres que tard, ta seule famille n’est que composé de ton frère et deux petites sœurs encore à la maternelle. Tu ne fais même pas attention aux reproche de ton ainé, a vrais dire tu ne fais même pas attention aux êtres vivants, tu vie dans un autre monde. Un monde sanglant, discorde, sans sens. Cela peut-il signifier alors ton manque de réaction face à chaque fois que tu vois du sang ? Je crois que tout commença alors que tu séchais à nouveau et qu’au bout d’une sombre ruelle tu aperçus ce qu’on appelle un meurtre. Tu observas alors l’homme armé sans broncher tué le plus petit de deux balles dans ce qui fut sa tête. Aucune réaction, rien. Mais quelque chose en ton intérieur bougea, des pulsions qui te poussait alors à observer la victime un sourire étrange se fixant sur tes commissures. Alors à peine âgée d’une quinzaine d’année tu commenças sur ce qu’on appelle le chemin du crime, un chemin qui te faisais ressentir quelque chose que jamais tu n’avais ressentis. Quelque chose d’horrible.
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   Ce que vous avez fait durant le mois suivant la disparition des adultes : Tu t’en fiche pas mal que les parents des autres ont disparus, les tient l’ont bien fait depuis plus longtemps et cela ne semble ne t’avoir rien fais. Tu ne vie juste désormais plus chez toi, tu n’y es plus retourné depuis ton premier crime. Non tu ne veux plus y aller. Ils peuvent bien se débrouiller sans toi. Ils l’ont fait chaque année qui a suivis la mort de tes géniteurs. Tu continues donc à te débarrasser des gêneurs mais pas pour toi. Tu es payée pour tes services. Un tueur à gage voilà donc le métier que tu as choisis. Un jeu dangereux commence donc. Puis peu à peu tu te rends compte du comportement étrange des autres enfants. Des groupes se sont formés. Tu n’en pas vraiment l’utilité. Un mois passe sans t’en rendre compte, tes victimes sont maintenant des jeunes, qui pouvait avoir ton âge, mais bien sur cela ne te fais ni chaud ni froid. Le les laisses pas t’attendrir, cela peut t’affaiblir. Tu dors là où tu peux, par terre dans une ruelle, sur un toit de bâtiment. Lorsque tu marches dans la rue, c’est une sorte de vide, personne ne marche, juste des adolescent qui ne te jette pas le moindre regard.
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