Ce que vous avez fait avant la disparition des adultes : Je suis née au Japon, d'une mère et d'un père Japonais, de la pure souche japonaise. Bon je suis pas née toute seule, on est arrivé à deux moi et mon frangin, des jumeaux pour le plus grand bonheur de mes parents. Cependant depuis très jeune je me suis distingué de mon frère Tetsurou, contrairement à lui j'ai développer très rapidement mes capacités qu'elle soit intellectuelles, scolaires, physique, social , ça n'avait pas d'importance je réussissais tout ce que j'entreprenais, ce qui me valu une pression familiale comment dire... importante.

Très jeune je commence à pratiquer différent art martiaux, car pour une raison que j'ignore les sport de combat m'ont attiré, sans poser de question mes parents mon pousser dans cette voie. J'ai de ce fait remporter plusieurs compétitions dans ses disciplines. D'une certaine façon je dirais que je faisait tout pour plaire à mes parents à l’instar de mon frère. Ma vie devient vite une routine d'exécution diverse et varié au plus grand plaisir de mes parents sûrement.

Pourtant d'une certaine façon j'aurais aimer être comme mon frère plus tranquille, et il avait ce quelque chose qui me faisait l'admirer. Mon frère représentait beaucoup pour moi, c'était à la fois quelqu'un dont j'étais fier et en même temps, j'avais une crainte profonde de le perdre dont je ne parlait à personne.

Socialement, tout ce passait bien d'un naturelle gentille et agréable avec les autres, je n'avais pas de problème particulier, je possédais une maîtrise de moi plutôt important, il était rare que je m'énerve à vrai dire. Cela n'était pas une façon de régler un conflit. J'avais une joie de vivre presque qu'irréprochable, toujours un sourire au lèvres même quand ça allait mal. Ne pas vouloir sombrer dans une atmosphère lugubre et sombre voilà à quoi servait mon sourire finement accrocher à mes lèvres.

Ce que vous avez fait durant le mois suivant la disparition des adultes : Ce matin là comme une bonne partie des gens j'allais en cours, tout aurait pu ressembler à une journée normal, sauf que rien que sur le chemin du lycée, cela sonnait déjà bizarre. Une fois au lycée je vie la tête apeuré de mes collègues, puis mes amis m’annoncèrent presque en me sautant dessus que les adultes étaient tout simplement disparu...

Je rentra chez directement, en courant, le souffle court quand je franchis enfin la porte de la maison.  Il était là, Tetsurou il avait un regard livide presque que flippant, c'était mon frère et pourtant je ne le reconnaissais pas. Un silence long très long dura entre nous, puis il parla, ses mots étaient violent à mon égare, mon frère me haïssait depuis si longtemps, il me détestait... Je ne savait pas quoi dire je savait pas quoi faire alors je restais là immobile encaissant ses mots comme de violente baffes sur mon visage, ça faisait mal.  

Il parti sans un mot de plus laissant juste la haine dans notre maison et moi immobile. Quand je jugeai que la distance nous séparant était assez grande, je glissai au sol contre un mur. Tout un tas d'informations ce bousculait dans ma tête, cette claque fit remonter doucement l’amertume qui m'habitait. Le temps passait, je perdis un instant cette notion éphémère. C'est la faim qui me sortit de ma torpeur interne, j'avais mal et je me sentais abandonner je n'avais pas eu le temps de dire ce que je pensais à mes parents. C'était idiot. Dans un élan de colère je fis rencontrer le mur à mon poing avec une violence inouïe, douleur éphémère là encore, simple incomparable à celle qui me ronge actuellement. Pourtant un instant je restait à observer ma main ensanglanté, comme une fascination à la vue du sang.

Je peux pas dire que cela calma mes pulsions, mais je pris le temps de prendre un truc à la va vite dans la cuisine pour rassasier mon ventre. Plus rien n'avait d'importance, ma vie parfaite était éphémère comme tout. Dans un élan de folie sûrement je coupa mes cheveux court à la garçonne, je n'étais plus celle d'avant, fini les bon services ridicule il allait tous payer et ce sans exception!

Je pris un simple sac léger avec un minimum de chose, surtout de la nourriture en fait. Et avec ce minimum je sortis de chez moi. Dehors tout commençait déjà à prendre des proportions autres. Tout allait vite, je partie en courant dans une petite rue loin de l'agitation pleine de panique pour la plupart. Je déboucha sur un des grande rue en tombant nez à nez avec quelques garçons idiot sûrement. Il regardèrent ma main ensanglanté s'approchèrent de moi et je sais pas trop ce qu'il on voulu si c'était agressif ou déplacer comme geste, mais je me suis tout simplement battu avec eux. De façon toute à fait impulsive je voulais les frapper leur faire mal les voir souffrir. Mes années d'art martiaux ressortaient encore plus flagrantes mélanger à l'agressivité hors norme dont je faisais part. Je continua mon chemin laissant leur corps tordu de douleur derrière moi, après d'une façon, quo m'était alors étrangère, de savourer leur douleurs et le plaisir de voir leur sang s'écouler doucement.

Les jours qui suivirent furent la simple expression de ma colère, un carnage sans égale, tout ce qui me passait sous la main était bon à massacrer, c'était bon pour me défouler. Et surtout pour éprouver encore et encore la sensation du sang chaud qui coule sur mes doigts. Survivre maintenant était une tout autre manche, comme une sorte de loi du plus fort, chacun voulait montrer ça valeur, moi, je voulais juste adoucir ma douleur... Très rapidement je me fis un nom et finalement ceux qui avait eu l'idée de m'attaquer fuyait la queue entre les jambes avant même que je ne bronche d'un poil. Cependant ma renommer toute fraîche apporta aussi dès personne souhaitant être proche de moi, me rejoindre. J'y vu un avantage considérable, sélectionnant ceux qui en valait là peine. Je commença à monter un réseau organiser et efficace. Je n'était plus celle qui devait s'écraser et obéir.

C'est quand tout cela commença à prendre des proportions importante que je m'éloignais un peu du groupe, non désireuse de vivre en société, j'étais une âme solitaire pourtant chef des Crazy 2K14. Notre nom commençait à être connu, une organisation bien ficelé en soit. Mais diriger c'était pas ma tasse de thé alors sans vraiment de regret je laissa la direction des Nightmares à Yu, qui avait très vite rejoins le groupe. On se comprenait bien lui et moi même s'il avait des allures dérangeante et des blagues souvent pénible. Je savais que pendant mes moments solitaire ou je n'étais pas là, avec ceux de mon organisation, il serait un bon gérant, car nos idées allait dans le même sens bien que pas toujours de la même manière.

En même temps une de mes mission m'avais pris un temps fou qui plus ait soldé par un échec que je ne pouvais admettre, il était tout bonnement interdit d'échouer, ce n'était pas dans ma façon d'être je réussissais tout et je continuerais à tout réussir, parce que c'est ainsi que vont les choses. De ce fait en parallèle avec une gestion hasardeuse des Crazy, je traquais Leiko Kogame. Ce qu'elle avait fait? Qui elle était ? Je m'en fichais, je savais juste qu'il me la fallait, esquinter? Probablement, après tout frapper détend toujours un peu surtout, quand la demoiselle se permet de m’échapper.

Au final le mois passé est relativement court mais il c'est passé un nombre de chose incalculable. Et je crois pouvoir dire que ma vie peu importe ce qu'elle fut ne sera jamais plus la même. Maintenant commence un nouveau jeu, une nouvelle façon de vivre, une nouvelle chasse...